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Perles scrotales

Mobile calcifications within the tunica vaginalis are often referred to as “scrotal pearls”. In general, extratesticular calcifications are more common than intratesticular calcifications and ususually related to benign processes. The etiology of scrotal pearls is often related to torsion of the epididymal or testicular appendages or fibrinous degeneration of the tunica; in infants, meconium peritonitis can be considered. Scrotal pearls are most often solitary but can be multiple and are often associated with hydrocele.

Lithiase du canal de Wharton au scanner

Pneumo-médiastin Présence d'air dans le médiastin. Primitif  (spontané) : sans cause apparente Pathologie rare, bénigne affectant les hommes jeunes (13-35 ans) et les femmes enceintes. Complique 0,3-5 % des asthmes de l'enfant Récidives exceptionnelles Incidence difficile à établir car symptomatologie discrète et diagnostic sougvent non fait. Physiopathologie : rupture alvéolaire avec dissection le long des vaisseaux vers le hile, decompression dans les tissus sous cutané et les espaces cervicaux profonds et, éventuellement, vers le péricarde (pneumopéricarde). L’élévation de la pression intra-alvéolaire peut être due à une obstruction bronchique (bouchon muqueux, corps étranger), une ventilation mécanique, la toux, les vomisements ou une manoeuvre de Valsalva (accouchement par exemple). Les lésions de la paroi alvéolaire peuvent être dues à : pneumopathie, emphysème, fibrose pulmonaire. Secondaire  : dû à : traumatisme, infections intra-thoraciques, rupture du tr

Myome intra-mural et sous-muqueux : hystérographie (1)

Masse du sein chz une femme allaitante

Manifestation oculaire d’un lymphome

Lymphomes non hodgkiniens Ils sont parmi les tumeurs orbitaires les plus fréquentes. L'atteinte orbitaire peut être uni- ou bilatérale. Elle peut être isolée ou être un élément d'un lymphome généralisé. L'évolution est en général lente, la localisation est variable : orbitaire pure, intraconique, extraconique ou à cheval sur ces deux régions, palpébrale, sousconjonctivale alors bien visible, localisée à la glande lacrymale. La symptomatologie est fonction du siège du processus, de son volume, de son caractère plus ou moins agressif suivant l'histologie. La biopsie large permet le diagnostic et surtout le typage par immunomarquage du lymphome, par l'utilisation d'anticorps monoclonaux ; la prolifération est monoclonale en cas de lymphome et polyclonale en cas de pseudolymphome. On distingue les lymphomes à cellules T et ceux à cellules B, les plus fréquents au niveau orbitaire. L'immunohistochimie permet d'établir un grade de malignité à val